La volière aux papillons – Fermée depuis 2014

La Volière est fermée.

La volière aux papillons est fermée. Notre souhait est de montrer, un jour, des papillons de nos régions. Le projet est de créer un jardin de papillons autochtones, à l’air libre, avec une flore précisément choisie. Cela se présentera sous forme d’un jardin où le visiteur pourra s’asseoir, se promener, flâner, lire…

La volière aux papillons imposait d’importer des papillons tropicaux (une fois par semaine) qui vivaient leur courte vie, sans même pouvoir se reproduire. Le rôle du futur jardin serait de favoriser la protection de nos espèces, qui hélas, se raréfient en Europe. Ce projet verra le jour grâce à vous. Votre entrée contribue à nous aider à le réaliser. En effet, le château de Goulaine est un site privé, chaque visiteur est un mécène pour ce lieu chargé d’histoire.

Afin de renforcer l’attractivité du château, de nouvelles pièces sont accessibles : les cuisines du XVe siècle (depuis 2015) le cabinet de curiosités et la chambre du roi (depuis 2017).

Les enfants de 4 à 12 ans peuvent faire une visite costumée et participer à des ateliers-jeux dans le Musée LU. La visite est guidée ou libre, vous pouvez désormais flâner librement dans les différents espaces dédiés aux visiteurs.

Historique de la volière

En 1957, Robert de Goulaine reprend les rênes de la propriété et va consacrer 50 années de sa vie à la restauration de ce fabuleux patrimoine.

En 1984, il va ouvrir la première volière à papillons tropicaux vivants en Europe continentale, un succès immédiat qui fera connaître Goulaine à travers toute la France et au-delà des frontières. Ce lieu magique reproduit le climat d’origine de ces papillons tropicaux. Les conditions climatiques sont à l’identique : la température reste constante, entre 26 et 30 degrés et une humidité comprise entre 70 et 80 %. Pour palier l’absence de soleil (le ciel nantais étant parfois gris), une lumière forte est prévue. La volière propose également une exposition de plantes tropicales et équatoriales, riches en nectar et savamment choisies, indispensables pour le butinage des hôtes. De drôles de petits animaux, des cailles de Chine, contribuent à l’équilibre permanent et naturel de cet écosystème, en mangeant sur le sol, les araignées et les œufs de fourmis.